Idées reçues, étiquettes et touti cuanti... Révoltes relatives
- "tu dois, vois-tu ? Cerveau usé de déjà vu, bien moulu, avalé à petites doses, tous les jours sont à créer... pourtant, Gâchis ! - "Il faut de la réciprocité…", il faut que ... "tu as compris là", "c'est comme ça", sinon, "mais c'est bien connu", "tu dois", "c'est pour ton bien"
- Ahhh, stop ! Les « il faut », ponctuent la vie. C’est comme cela que tu l’esclaves en toi. Gouvernée par les il faut…. Pourquoi il faut ? Plaque ton idée hors de mon champs de vision. Passe ta route, vite fait avant que je te torde le cou.
Je n’ai jamais accepté tes « il faut », passe ta route ! Vite fait, j’te dis.
Continuant... l'idée reçue s'entête... :
- "Il faut que cet amour soit réciproque, il faut que ...", "viens à cette heure-ci", "il est de ton devoir de, c'est mieux pour toi, là, c'est comme ça..."
- Et ta sœur ! Elle chausse du deux ? La mienne, elle chausse ses botillons bien serrés. Comme ça elle marche droit… droit vers la marre, aux canards, au coin de ses « il faut ». Et elle bêle, … après, elle dort bien au chaud, mais de la reine qu'en est-il une fois ses principes ôtés ? Casse toi avec tes plaques, …Perception d’amour plaqué. Sors j’te dis….tu n'y connais rien.
La vie se passe là devant toi et tu mets des oeillères sur tout. Tu ne sais pas ce que les gens vivent. Plaque ta marque ailleurs que sur mon terrain, sais tu au moins de quoi il en retourne? Dégage de mon champ de vision, cours vite fait avant que je ne t’écrase d’une volée, que je sente tes os se recroqueviller sur le sol dur. Aarf, idée reçue, cours loin de moi ou je te bouffe la vie.
Sais tu ce que les gens vivent… ? Ils ne le savent même pas eux même. Juste la surface douce et rassurante des idées qui te gouvernent jusqu’à la moelle épinière. Pépinières de vide, trimballées par ouïe dire. Jouï de ça pauvre aveugle !
- Ahhh, stop ! Les « il faut », ponctuent la vie. C’est comme cela que tu l’esclaves en toi. Gouvernée par les il faut…. Pourquoi il faut ? Plaque ton idée hors de mon champs de vision. Passe ta route, vite fait avant que je te torde le cou.
Je n’ai jamais accepté tes « il faut », passe ta route ! Vite fait, j’te dis.
Continuant... l'idée reçue s'entête... :
- "Il faut que cet amour soit réciproque, il faut que ...", "viens à cette heure-ci", "il est de ton devoir de, c'est mieux pour toi, là, c'est comme ça..."
- Et ta sœur ! Elle chausse du deux ? La mienne, elle chausse ses botillons bien serrés. Comme ça elle marche droit… droit vers la marre, aux canards, au coin de ses « il faut ». Et elle bêle, … après, elle dort bien au chaud, mais de la reine qu'en est-il une fois ses principes ôtés ? Casse toi avec tes plaques, …Perception d’amour plaqué. Sors j’te dis….tu n'y connais rien.
La vie se passe là devant toi et tu mets des oeillères sur tout. Tu ne sais pas ce que les gens vivent. Plaque ta marque ailleurs que sur mon terrain, sais tu au moins de quoi il en retourne? Dégage de mon champ de vision, cours vite fait avant que je ne t’écrase d’une volée, que je sente tes os se recroqueviller sur le sol dur. Aarf, idée reçue, cours loin de moi ou je te bouffe la vie.
Sais tu ce que les gens vivent… ? Ils ne le savent même pas eux même. Juste la surface douce et rassurante des idées qui te gouvernent jusqu’à la moelle épinière. Pépinières de vide, trimballées par ouïe dire. Jouï de ça pauvre aveugle !
Oct 2006 sur la Terre et partout dans le monde, trimballées, les idées plaquées le sont. Ecrasant par mots faciles les pousses vivantes, les singularités gênantes ? Celui que tu montres du doigts par tes discours au quotidien, par tes convictions de vérité plaquées, vois ce qu'il ouvre comme voie secrète. Ce qui est différent te fait peur, oué, mettons....
Un monde n'existe pas, Des mondes, peut être ...
Un monde n'existe pas, Des mondes, peut être ...
Décrit comme "Démon de…" en apparence.
Peut être ? Tais toi, et écoute la note qui passe, dans cette cacophonie ... de vérités dictées, de kit méthodique de pensées utilisé en vrac.
J'prèfère encore ton "âme pétrifiante" que tes "bénis oui oui" régurgités !
